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MessageSujet: www.williamtheking.com   www.williamtheking.com Icon_minitimeMar 14 Sep - 0:45

ARTICLE Ier


Bienvenue sur William the King dot com. Oui, très peu me connaissent, mais sous peu, vous me connaîtrez tous. Et en quoi j'incarne le Renouveau de l'Aristocratie des Grandes Ecoles New Yorkaises.

Oui, oui, lisez bien, basse population de Chapin, Hewitt, St Bernard's, Dalton et Loyola*. Et bien sûr, élèves de Constance et de Saint Jude.

Mon nom est William Christopher Arlington. A eux seuls mes parents règnent sur les deux plus riches banques du monde. Ce qui fait de moi, je pense, le Seul et Unique. Le véritable.

En bref. La disparition (la mort ?) de James Buchanan, fier représentant de notre élite, a causé dans nos rangs un véritable traumatisme. Quel est notre guide ? Qui devons nous suivre ? Qui nous soutiendra quand nous martyriserons les élèves d'autres groupes, et pire encore, qui nous encouragera à le faire ?

Est il possible de laisser la vermine rebelle s'emparer de notre prestigieuse école ? Devrons nous être la risée de tout l'Upper East Side ?

Non.

Nous sommes l'élite, la Perfection. Non pas le fruit d'un enrichissement récent, ou d'un arrivisme puant, non. En nos veines coule l'héritage de la plus pure tradition de la côte est. Nos parents, nos grands parents et nos arrières grands parents ont construits ce pays, en ont fait la plus importante puissance du monde.

Que faire des millions et des milliards, quand on ne sait pas différencier une fourchette à poisson d'une fourchette à salade ? Quand on ne sait pas boire correctement son thé ? Ou, pire encore, que l'on ose boire un thé en sachet ?

A quoi cela sert de porter des robes Gucci ou Ferragamo, quand on ne sait pas que Jimmy Choo a créé sa première chaussure à onze ans ? Quel intérêt de se vanter de porter un costume français, quand on sait qu'il n'y a de beaux costumes qu'en Italie, ou qu'en Angleterre ?

Aussi, je vais dans les articles qui vont suivre, vous faire de rapides et simples topos sur différents sujets... Et tenter de répondre à des questions existentielles. Est il possible de porter une ceinture rouge sur une robe verte ? (Je vous rassure, la réponse est non...) Qu'est ce qui est le plus condamnable ? Sortir avec un homme marié ou coucher avec son cousin ? (Là encore, la réponse est simple : les deux méritent la lapidation sociale). Doit on entretenir un contant climat conflictuel avec les classes inférieures (Discrets et Rebelles ?) (Assurément, oui...) Pourquoi ?

Commençons tout de suite.

En quoi sommes nous supérieurs, nous, Aristocrates de Saint Jude et de Constance ?


Du grec Aristokratia (Aristos : excellent, le meilleur, le plus brave ; Kratos : le pouvoir).

C'est une question que l'on se pose à partir du moment où l'on hésite entre deux paires de chaussures (des Manolos ou des Jimmy Choo) ou une cravate et un noeud papillon. L'hésitation est la preuve que l'on sait se préoccuper du superflu, une marque d'intelligence, de bon goût, et surtout, de supériorité. Mais en quoi sommes nous supérieurs ? En quoi nos vies ont elles plus de valeur que celle des autres ? En quoi nos soucis sont ils plus importants ? Et en quoi les abrutis qui ne nous ressemblent pas seront ils obligatoirement oubliés ? Plusieurs réponses :

Être discret, ça n'apporte rien socialement.

En effet, quel intérêt de se cacher derrière les piles de livres d'une bibliothèque quand quelqu'un peut porter vos livres et vous suivre comme un chien docile ? Les discrets sont éspèce à part, qu'il faut préserver, car elle peut nous servir. Elle peut, parfois, être fort amusante ! Ainsi, Kane, de son air supérieur, n'en est pas moins un raté. Pourquoi cela ? Parce que même s'il arrivait à bien s'habiller, à porter des chaussures décentes et à jeter ces ignobles lunettes ( Rayban est OUT ! Qu'on se le dise ! ) jamais il ne pourrait être accepté dans nos rangs. Nous ne prenons que les meilleurs, c'est pour cela que nous sommes l'élite. Les plus intelligents, les plus beaux, les plus riches, les plus célèbres. Qui voudrait d'un mec aussi banal, qui voudrait d'une chrétienne pratiquante (Perez Hilton a tellement raison quand il dit que Facebook à tué Jesus...) ou encore d'une fille qui se prétend créatrice, et qui n'arriverait même pas à vendre dans un supermarché ces immondes créations.

En bref, nous sommes bien les seuls à les accepter. Par pour ce qu'ils sont aujourd'hui ? Non, pour ce qu'ils seront demain, une fois qu'ils seront devenus nos esclaves. Pour ma part, j'ai toujours rêvé d'avoir Kane à ma botte. Pas vous ?


Être rebelle, c'est dépassé.

Oui, oui, oui. Vous me direz, Kate Moss, elle osait se shooter à la coke devant tout le monde dans un bar. Quelle vulgarité. Car c'est bien ça, être un rebelle. C'est être vulgaire, et ne pas avoir d'estime de soi. Ils se prétendent philosophes, musiciens, ou pire encore, marginaux. Mais suivent (et pour certains avec l'argent de nos impôts !) des études dans notre fabuleuse école. Une école à 10 000 dollars le trimestre, ce n'est pas donné. En sommes, la plupart sont des fils à papa paumés qui n'ont pas réussi à saisir le coche de la réussite sociale. Vous seriez étonnés d'ailleurs, de voir combien de rebelles sont des aristos rejetés. Ou, plus drôle encore, des Discrets rejetés. Bon, ils sont pitoyables. Autant abréger leurs souffrances. Qui voudrait de ces pâles imitations de héros de série californiennes, adorateur de musique populaire comme ami ? Qui souhaiterait marcher sur le même trottoir que l'un d'eux ? Ils sentent le déodorant bon marché, le parfum dont on voit des pubs à la télévision. Et qui plus est, ils n'ont aucun style. Ce sont des personnes abjectes, qui souhaiteraient arriver au stade supérieur, c'est à dire celui des "ratés" ou des Discrets. Ils prétendent que fumer un pétard en public est synonyme de rébellion. Que passer une nuit en prison est un passage obligatoire pour la vie adulte. En bref leurs parents n'ont pas été à la hauteur avec eux. Et ne leur ont pas offert des cours de danse classique, ou des leçons de piano ou de violon.

En cela, un rebelle doit être obligatoirement exterminé. Je vous expliquerez les méthodes (cruelles et sensées) pour l'extermination des rebelles une autre fois...

Être un Aristocrate, ça le fait.

Et au dessus de tout ça, il y a... Nous. Au dessus des travailleurs précaires qui bossent le dimanche et partent en vacance en Floride, au dessus des gens avachis devant leur télévision, des gens abrutis par la bière bon marché, des gens inutiles à la beauté du monde, des gens qui ne comprennent pas la notion même de "surréalisme chez Godard", des gens qui se comportent comme des gamins attardés en public, des gens qui mangent dans des fast food, qui hésitent à dépenser 5 000 dollars dans une paire de chaussures, des gens qui pensent que fumer de l'herbe les rendront populaires ou acceptables aux yeux des autres (d'ailleurs arrêtez l'herbe et passez à l'étage supérieur !), bref, les gens normaux, il y a nous, Aristocrates.

N'oubliez pas, vous êtes l'élite, la Perfection Divine incarnée. Les héritiers des fortunes les plus importantes et les plus respectables de notre civilisation, descendants et descendantes de monarques déchus, de rois du pétrole, de banquiers, de cinéastes, d'écrivains célèbres, de philanthropes reconnus, et de mondains généreux.

Nous sommes la seule barrière contre la vulgarité, contre la non élégance, contre la stupidité. Pourquoi cela ? Parce que nous sommes classes, élégants et intelligents.

Qu'on se le dise, n'est pas Aristocrate qui le veut, alors, autant en profiter...



*Autres préstigieuses écoles de l'Upper East Side
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MessageSujet: Re: www.williamtheking.com   www.williamtheking.com Icon_minitimeMar 14 Sep - 12:34

Article II : MODE, MODE, MODE..
.



www.williamtheking.com Marc-jacobs-kilt


Sujet qui portera sur les meilleurs créateurs du moment. Autant pour les filles, que pour les garçons. Alors, prenez garde à ne pas vous tromper, ce matin, en choisissant ce que vous allez porter.

Comme vous avez pu le remarquer, Marc Jacobs illustre mon sujet. Tout aristo se doit de se poser la question suivante :

Marc Jacobs est il "in" ou est il "out" ?

Une simple réponse à cette question, et votre vie, croyez moi, sera plus facile.

On le sait, depuis la séparation d'avec celui qu'il considérait comme son âme sœur, le publicitaire d'origine brésilienne Lorenzo Martone, le créateur Jacobs n'est plus vraiment dans son assiette. Crise de larme en plein milieu du Monkey Bar, crise de nerf sur les serveurs du Veloce, tentative de suicide à Ibiza. A cela s'ajoute une baisse de sa côte de popularité. Anna Wintour aurait d'ores et déjà écrit un article pour sa mort prochaine, à paraître dans le prochain Vogue. Vous me connaissez, je ne suis pas du genre à m'opposer à Anna Wintour.

Mais c'était avant d'avoir rencontré le bonhomme !

Soirée mondaine, imposée par ma mère, chez Cartier. Entre les montres à 45 000 dollars, et les rivières de diamant, j'ai croisé un être absolument déchu. Caché derrière de lourdes lunettes Dior, Marc Jacobs était seul, et rejeté de tous. La Morale Chrétienne ne nous dit elle pas "Aime ton prochain comme toi même ?" Je me suis donc approché de Mr Jacobs, et, d'un air d'indulgence, lui ait offert une coupe de champagne, et quelques petits fours au foie gras. Je le dis toujours, il faut aider les nécessiteux. Je ne vais pas mentir, j'avais peur. L'homme était au plus bas de sa popularité, même les journalistes du New York Times refusaient de le prendre en photo, déléguant cela à différents papiers à scandales pour classes moyennes. Je ne saurais vous décrire son regard de reconnaissance, à ce moment précis. Le fils d'Elisa Arlington, lui offrir une coupe de champagne ? N'était ce pas là le tremplin rêvé pour revenir sous les projecteurs ? Je lui demandais où en était sa prochaine collection. Il me répondit qu'elle trainait dans des placards poussiéreux à Paris.

Vous le savez certainement, Marc est un de ces hommes qui aimant les hommes, à réussi à se projeter sur le devant de la scène. Il est issu d'un milieu aisé, mais vient de l'Upper West. Juif de surcroit. Cela n'aide pas. Une fois devenu directeur artistique des collections Vuitton, il croyait son avenir assuré. Preuve est faite que les couturiers français n'ont plus le même éclat qu'auparavant.

Les gens nous regardaient d'un drôle d'air. Était il socialement potable d'aller saluer Marc Jacobs ? Lui même se désespérait, enfilant coupe de champagne sur coupe de champagne, de revoir un jour la lumière éblouissante d'un flash de paparazzi. Je lui rappelait alors son passé. Ses marques se vendaient bien, moins bien qu'auparavant, mais bien quand même. Les investisseurs étaient toujours là, et même si LVMH avait décidé de nommer quelqu'un d'autre que lui à la tête de son empire de fringue, celui-ci portait quand même son nom ! Cela eût pour effet de lui remonter le moral. Alors, d'un pas décidé, il serra la main à Diane Von Fürstenberg, directrice du Conseil des Créateurs Américains. Celle-ci, un peu hésitante et frileuse, décida néanmoins de lui offrir son bras pour qu'il l'accompagne à l'autre bout de la salle de réception. (Je lui avait quand même promis que ma mère achèterais chacune de ses créations pour la collection Printemps Eté 2011.)

A la sortie de la réception de chez Cartier, devinez quoi. Marc Jacobs était pris en photo par le Times, par le Los Angeles Tribune, le Figaro et par The Independant. Anna Wintour l'invita même à une superbe soirée dans les Hamptons. En une heure j'avais sauvé la réputation d'un créateur génialissime.

Car, tout le monde le sait, ce n'est pas pour leur talent, ou pour la beauté de leur vêtements, que l'on achète chez les Grands Créateurs. C'est pour l'aura qu'ils développent autour d'eux. Marc Jacobs en fait partie. Comme Jean Paul Gaultier, Hedi Slimane, John Galliano, Karl Lagerfeld ou encore Oscar de la Renta.

Voilà, vous savez désormais ce qu'il faut porter pour la saison prochaine...
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